Dé-transition de genre – Pauline Quillon

Le premier service, ouvert en France en 2013 seulement, avait alors accueilli trois enfants. Aujourd’hui, ce sont cinq enfants qui frappent chaque semaine à la porte de Robert Debré, selon les déclarations à la presse des psychiatres de ce service.

Soit plus de 260 par an pour ce seul hôpital.

Des pays avant nous se sont aventurés dans une démarche exclusivement « transaffirmative ».

Depuis vingt ans, la Suède, la Finlande et l’Angleterre accordent aux mineurs le droit à s’autodéterminer, donc à choisir  » leur genre « . Pourtant, très récemment, ces trois pays ont fait marche arrière et interdisent désormais de procéder à une transition médicale chez les mineurs. Ils leur refusent également la transition sociale, c’està-dire la possibilité de vivre sous l’identité de l’autre sexe. Ils privilégient désormais l’approche psychothérapeutique.

 

Intervenant : Pauline Quillon
Elle est journaliste, agrégée de lettres modernes. Pauline Quillon a enseigné quelques années avant de devenir journaliste pour Famille chrétienne. Elle est spécialiste des questions de société. Auteur de : "Enquête sur la dysphorie de genre" (Mame, 2022).

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