À l’instar de l’Académie nationale de médecine, le porte-parole du collectif «Soulager mais pas tuer» dénonce l’interprétation abusive du terme «sédation» employé dans le projet de loi sur la fin de vie.
Tugdual Derville, auteur de cette tribune de Figaro Vox du 9 mars 2015, est fondateur d‘À bras ouverts, auteur de «La Bataille de l’euthanasie» (Salvator). Il est délégué général d’Alliance VITA et porte-parole du collectif Soulager mais pas tuer.
Une expression a émergé dans le débat fin de vie : le mal-mourir. Est-ce le reflet des lacunes de notre système de santé ou d’une angoisse de plus en plus grande devant la mort, à cause de l’isolement?
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