Nicolas Sarkozy

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Parti politique : Les Républicains

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Les positions biopolitiques de Nicolas Sarkozy sur les questions bioéthiques

Famille et Maternité



Famille

Il a dit : 

« Il faut abroger la loi Taubira » à l’occasion du meeting organisé par l’association Sens commun. – Source : HuffingtonPost – 15/11/2014

 

« Je ne souhaite (donc) pas qu’on légifère à nouveau, parce que la priorité doit être de rassembler les Français » (…) « Jamais je n’ai eu l’intention de contester la légitimité d’un mariage homosexuel. Il ne sera donc pas question de démarier les mariés ou de revenir sur le principe du mariage homosexuel ». (…) « La mairie étant le lieu symbolique, du point de vue civil, il n’y aucune raison que les homosexuels soient privés de cette reconnaissance. Une cérémonie de mariage à la mairie pour les couples homosexuels me semble juste.  – LivreLa France pour la vie – p.155 à 157. 

 



PMA

Ne s’est pas prononcé.



GPA

Il a dit :

« Je suis opposé à toute forme de GPA, pour les homosexuels comme pour les hétérosexuels. La France devrait prendre une initiative internationale pour que les pays qui autorisent la GPA la réservent à leurs nationaux » – La Croix – 24.03.2016



IVG

Ne s’est pas prononcé

Société & dépendance



Handicap

Il a écrit :

« La politique en faveur du handicap est un enjeu majeur de solidarité, une grande cause nationale.(…). Nous amplifierons nos efforts, en relevant le défi de l’accessibilité physique mais aussi numérique, de la scolarisation, des places manquantes dans des structures médico-sociales et de l’accès à l’emploi. Je veux en particulier sur la scolarisation des enfants handicapés une action forte. Beaucoup reste à faire pour tenir compte des attentes et des besoins des familles lorsque l’on sait que certaines sont contraintes de les scolariser à l’étranger, en Belgique notamment. Dans un grand pays comme le nôtre, c’est choquant. Nous devons y remédier ». – Livre : Tout pour la France – p. 219.



Grand âge

Il a écrit :

« Je souhaite créer une aide à l’hébergement pour les personnes âgées dépendantes en maison de retraite, récupérable sur les successions, dont le niveau varierait en fonction des revenus. Son coût global sera de 500 millions d’euros. (…) Parallèlement, nous devons préparer un grand plan de création de places dans les maisons de retraite, pour anticiper l’arrivée aux âges les plus élevés des premières générations du baby-boom, à partir de 2025. Cela nous conduira à engager la création d’un véritable cinquième risque au sein de la Sécurité sociale, car la dépendance est un enjeu de cohésion sociale que la société doit prendre en charge ». – Livre : Tout pour la France – p.220



Fin de vie

Il a écrit :

[parlant de l’affaire Lambert] « Est-ce une nouvelle loi qui résoudra ce drame ? Je ne le crois pas. Je sais que les Suisses ont codifié l’euthanasie. Ils ont ainsi prévu dix-huit cas répertoriés où elle est possible. Il suffit de cocher la bonne cas dans le formulaire, et on organise ainsi sa mort. Je considère cela glaçant, et surtout bien peu adapté à nos sociétés latines. »  – Livre : La France pour la vie – p. 159

 

« La priorité pour mourir dans la dignité passe d’abord par l’accès au droit de chacun à bénéficier de soins jusqu’à la fin de sa vie. C’est une obligation morale pour les familles confrontées à ces difficultés et une demande forte des praticiens. » (…) « L’offre de soins palliatifs a presque doublé, de 3 000 lits en 2007 à plus de 5 000 en 2012, grâce au plan national que j’avais initié en 2008. J’ai conscience que ce n’est pas encore suffisant, mais les médecins regrettent surtout que cet effort n’ait pas été poursuivi depuis, comme la Cour des comptes l’a rappelé dans un rapport de 2015. Je veux que pour le prochain quinquennat, notre retard puisse être rattrapé en se donnant pour objectif de doubler le nombre de places, au-delà du seul cadre hospitalier, pour apporter cette aide aux familles. » (…) « La façon dont une société accompagnent ceux qui sont le plus gravement malades vers leur fin est un signe de civilisation. Souffrir d’une maladie ne doit pas conduire à un sentiment d’abandon mais au contraire à un surcroît de solidarité et d’attention. » – Livre : Tout pour la France – p. 221

 

 

 

Recherche & Science



Statut de l’embryon

Ne s’est pas prononcé



Manipulation du génome humain

Ne s’est pas prononcé

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