Le gouvernement s’est lancé dans une bataille pour museler et censurer les opposants à la banalisation de l’avortement en ciblant les sites qui informent les femmes sur les alternatives à l’IVG.
Non content de les menacer d’un « délit d’entrave numérique à l’IVG », il se permet, par son propre « site officiel », de faire dire à un prétendu expert qu’il n’y a pas de séquelles psychologiques à long terme après un avortement. Pire, nous avons la preuve que les répondants officiels de ce service orientent des femmes enceintes vers un avortement illégal à l’étranger jusqu’à 22 semaines (alors que le délai français est de 12 semaines !).
Nous demandons à Madame la Ministre Laurence Rossignol :
♦ le retrait immédiat de la menace du « délit d’entrave numérique » qui pèse sur les associations qui proposent des solutions alternatives à l’IVG
♦ l’arrêt de toute propagande mensongère sur le site internet officiel du gouvernement et de toute complicité gouvernementale avec des filières d’avortement à l’étranger
♦ la diffusion des informations sur les aides financières et sociales aux femmes enceintes consultant en vue d’un avortement pour que l’avortement ne soit pas une fatalité et leur permettre de conduire leur grossesse jusqu’à son terme.
Il est irresponsable de cacher la réalité d’un acte qui n’a rien d’anodin dans la mesure où c’est toujours le destin de vies humaines qui est en jeu.
Ensemble, faisons reculer la fatalité de l’avortement.
Je signe la pétition